Daniel et Claudine, grands-parents paternels, se sont retrouvés brutalement privés de tout contact avec leurs deux petites-filles, suite à une discorde avec les parents. Accusé injustement, Daniel n'a même jamais pu connaître sa seconde petite-fille. Quant à Claudine, elle ne peut voir ses petites-filles qu'une fois par mois, sous surveillance. Désemparés face à cette situation, ils ont sollicité l'aide de Maître Olivier BERNABÉ, avocat à Paris 9, à deux pas de la gare Saint-Lazare.
Très présents pour leurs petites-filles, Daniel et Claudine ont soudainement été écartés de leur vie par la mère des enfants, suite à des accusations mensongères visant Daniel. Ce dernier a été accusé de comportements déplacés envers sa petite-fille, ce qu'il conteste fermement. La petite Lucie, 5 ans, exprime pourtant son souhait de voir ses grands-parents, preuve de leur bonne relation.
Face à ces allégations infondées et à une rupture brutale et injustifiée des liens, contraire à l'intérêt des enfants, Daniel et Claudine ont décidé de se tourner vers Me BERNABÉ. Avocat expérimenté en droit de la famille depuis 1994, il leur a proposé de saisir le juge aux affaires familiales pour obtenir un droit de visite et d'hébergement, dans l'intérêt des petites-filles.
L'avocat a d'abord dû répondre point par point aux accusations de la mère, qui affirmait avoir porté plainte contre Daniel. Or, aucune preuve tangible d'un dépôt de plainte n'a pu être fournie, seulement un vague courrier au Procureur resté sans suite. Me BERNABÉ a ainsi démontré l'absence de fondement de ces allégations.
Ensuite, l'avocat a mis en avant l'article 371-4 du Code Civil, qui autorise la fixation d'un droit de visite et d'hébergement pour les grands-parents, sauf si cela va à l'encontre de l'intérêt de l'enfant. Il a souligné l'implication de Daniel et Claudine auprès de leurs petites-filles, jusqu'à ce que la mère, très possessive, cherche à rompre ce lien par jalousie.
Grâce à une argumentation solide et de nombreux efforts, Me BERNABÉ a obtenu gain de cause pour ses clients. Daniel et Claudine bénéficient désormais d'un droit de visite et d'hébergement conséquent, ainsi que d'une correspondance régulière avec leurs petites-filles en dehors de ces périodes.
Très affectés par cette séparation brutale et les accusations calomnieuses, Daniel et Claudine craignaient de ne plus pouvoir entretenir de relation avec leurs petites-filles. Ils sont aujourd'hui immensément soulagés d'avoir été rétablis dans leurs droits et leur honneur. Ils peuvent à nouveau profiter de moments privilégiés avec leurs petites-filles, dans leur intérêt à toutes.
À retenir : si vous vivez une situation similaire en tant que grand-parent, n'hésitez pas à vous faire conseiller et accompagner par un avocat spécialisé. Pensez à réunir tout élément prouvant votre bonne relation avec vos petits-enfants et votre implication, cela appuiera votre demande. La justice reconnaît le rôle essentiel des grands-parents, sauf circonstances exceptionnelles.
Le cabinet BERNABÉ à Paris 9, proche de Paris 8 et 17, est reconnu pour son expertise en droit de la famille. Que vous soyez grands-parents injustement privés de vos petits-enfants ou parents devant protéger vos enfants, Me Olivier BERNABÉ et son confrère Me Dominique MUNIZAGA sauront vous conseiller et vous guider, en plaçant toujours l'intérêt de l'enfant au cœur de leur action. Contactez-nous pour bénéficier de leur accompagnement bienveillant et efficace.